Que les vacances me semblent déjà loin!
Déjà repris le boulot depuis 10 jours, et toujours pas parler de mes vacances! Il faut dire que le retour au travail n'est pas un long fleuve tranquille. La cadence s'est soudainement réaccélérée depuis début mai. Si j'ajoute à tout ça une semaine où je passe toutes mes soirées dehors... à faire du sport, pas le temps de faire grand chose d'autre.
Profitons donc du temps qu'il me reste avant de partir transpirer ma dose de sueur hebdomadaire pour réaliser un bref retour sur les dernières vacances. Et en parler, c'est presque y retourner. :)
Mardi dernier je parlais d'un début de vacances original. Original mais pas très joyeux pour certains. Alors que mon voyage en train venait à peine de débuter (voyage à destination de Perpignan), en pleine campagne Isèroise, le train siffle soudainement et se met à freiner.
Pas besoin d'être devin pour comprendre que quelque chose cloche. Une fois à l'arrêt tout le monde s'interroge. S'agit-il d'une panne? La réponse vient d'elle même quand on entend crier une femme sur le bas côté de la voie de chemin de fer.
Le train vient d'éviter de justesse une collision avec un individu, fortement imbibé d'alcool, allongé sur la voie pour cause de: "j'ai envie de me suicider". Heureusement que cet individu n'était pas seul et qu'au dernier moment une personne l'accompagnant l'a poussé hors des rails. Le cri qui a suivi provenait de sa mère, choquée. Le sauveur et le déprimé s'en sortent finalement pour une bonne frayeur et des timpans explosés. Cet évènement ne nous a valu "que" 20 minutes d'arrêt et une correspondance attrapée de justesse à Valence.
La suite du voyage fût beaucoup plus joyeuse, mais pas moins bruyante puisque j'ai eu la grande chance de partager le wagon d'une troupe géante de joyeux lurons belges du troisième âge.
J'avais déjà connu le voyage en train de nuit dans un wagon d'ados partant en colo mais je dois dire qu'au niveau décibels produites, ils sont battus par leurs grands parents.
Et au contraire de leurs aînés, à l'arrivée sur Perpignan, ils n'ont point eu la politesse de me laisser sortir avant de bouger en groupe. J'ai eu l'honneur d'être le dernier à descendre du train. M'enfin, quand un voyage pareil se produit sur trajet aller des vacances, on relativise.
30 minutes après la sortie du train, je voyais la mer...
Profitons donc du temps qu'il me reste avant de partir transpirer ma dose de sueur hebdomadaire pour réaliser un bref retour sur les dernières vacances. Et en parler, c'est presque y retourner. :)
Mardi dernier je parlais d'un début de vacances original. Original mais pas très joyeux pour certains. Alors que mon voyage en train venait à peine de débuter (voyage à destination de Perpignan), en pleine campagne Isèroise, le train siffle soudainement et se met à freiner.
Pas besoin d'être devin pour comprendre que quelque chose cloche. Une fois à l'arrêt tout le monde s'interroge. S'agit-il d'une panne? La réponse vient d'elle même quand on entend crier une femme sur le bas côté de la voie de chemin de fer.
Le train vient d'éviter de justesse une collision avec un individu, fortement imbibé d'alcool, allongé sur la voie pour cause de: "j'ai envie de me suicider". Heureusement que cet individu n'était pas seul et qu'au dernier moment une personne l'accompagnant l'a poussé hors des rails. Le cri qui a suivi provenait de sa mère, choquée. Le sauveur et le déprimé s'en sortent finalement pour une bonne frayeur et des timpans explosés. Cet évènement ne nous a valu "que" 20 minutes d'arrêt et une correspondance attrapée de justesse à Valence.
La suite du voyage fût beaucoup plus joyeuse, mais pas moins bruyante puisque j'ai eu la grande chance de partager le wagon d'une troupe géante de joyeux lurons belges du troisième âge.
J'avais déjà connu le voyage en train de nuit dans un wagon d'ados partant en colo mais je dois dire qu'au niveau décibels produites, ils sont battus par leurs grands parents.
Et au contraire de leurs aînés, à l'arrivée sur Perpignan, ils n'ont point eu la politesse de me laisser sortir avant de bouger en groupe. J'ai eu l'honneur d'être le dernier à descendre du train. M'enfin, quand un voyage pareil se produit sur trajet aller des vacances, on relativise.
30 minutes après la sortie du train, je voyais la mer...